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366 lieues sous les mers
22 mai 2013

Assez de

 

Première couche, ratée. Deuxième moitié de couche, ratée aussi. Deuxième deuxième moitié de couche, damned, encore ratée. Assez de peinture de plafond pour aujourd’hui ou je vais tuer quelqu’un.

Copine et moi et du thé sur des fauteuils au soleil sur un balcon parisien pour parler de moitié de réincarnation et de pudeur des semelles, et déjà l’heure de partir. Jamais assez de temps pour les instants heureux.

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Commentaires
C
hein non? C'est chiant!
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M
Jamais, mais vraiment jamais assez de temps pour le bonheur, bien dit Céher!
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M
Voilà. C'est toujours le même problème. C'est énervant à la fin!
Répondre
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