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366 lieues sous les mers
5 juin 2014

366 - parfum

Ma collection de miniatures se monte à plus de 1000 petits échantillons. Mon bonheur, parfois le soir, est d'ouvrir l'une des portes vitrées d'une de mes deux vitrines et de sentir l'odeur de tous ses parfums emmélés. Curieusement, malgré le parfum qu'elles dégagent depuis des décennies pour certaines, aucune ne se vide. C'est un parfum éternel.

Sinon, j'ai toujours trouvé qu'un parfum de femme qui ne nous laisse pas insensible était toujours indissociable d'elle même ; quand je le sens par la suite sur une autre, j'ai la désagréable impression qu'elle l'a ravi à la première ! 

Quand je sens Shalimar je pense à celle ci, quand c'est Nina Ricci à celle là, si c'est Trésor à Elle, et d'autres parfums encore à d'autres mais, par contre, l'eau de javel à mon ex belle (enfin belle...) mère. Curieux non ?

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Commentaires
M
oui :D
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M
Une beauté javellisée, quoi... Le rêve de monsieur Propre!
Répondre
366 lieues sous les mers
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