11 août 2013
Liberté chérie
Le soleil était accablant ; Harald marchait sans but sur le chemin poussiéreux. Il regardait droit devant lui, le regard vide et ressentait l’horrible sensation qu’il n’y avait plus aucun espoir : ce bon vieux Harald revenait d’un enterrement, celui de sa liberté chérie. Il s'éloignait accompagné de son ombre qui s'allongeait à chaque heure un peu plus. Bientôt il disparut de l'autre côté de la longue montée.C’était fini .
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