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366 lieues sous les mers
1 mai 2013

Comment je pense à demain

Je suis un éphémère. Si je pense trop près à demain, je m’y brûle, alors je profite de la lumière d’aujourd’hui et je regarde demain de loin. 

Je suis un papillon. Papillon  le presque-anagramme d’Apollinaire, et je me prends entre ses lignes :

« Rien n’est mort que ce qui n’existe pas encore

   Près du passé luisant, demain est incolore. »

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Commentaires
C
C'est la même. En moins sombre parce que j'y parle de lumière, mais au fond, c'est exactement la même.
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A
Comme c'est joli ! J'aime bien cette façon de voir demain, c'est un peu la mienne en moins sombre ;)
Répondre
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